Nice, Mai 1921.
4, rue Jean-Paul-Laurens… L’enterrement de Suzanne Lenglen! Un jour Jean-Paul-Laurens, qui corrigeait mes dessins, s’étonna, d’un étonnement à la fois doux et aigre, d’en trouver un inachevé… car la veille j’avais préféré aller jouer au tennis avec Suzanne Lenglen. N’avais-je pas eu raison de profiter de ce jaillissement si vite éteint ?
Journal, 6 juillet 1938, Paris.